Impact du Changement Climatique sur les Communautés Rurales au Bénin
Introduction au Changement Climatique en Afrique
Le changement climatique représente une menace croissante pour de nombreux pays, en particulier en Afrique. Le Bénin, avec sa vaste population rurale, est particulièrement vulnérable aux conséquences environnementales liées aux variations climatiques. Les communautés rurales, qui dépendent fortement de l’agriculture, ressentent déjà les effets négatifs de cette crise mondiale.
Effets sur l’Agriculture Rurale
Le secteur agricole au Bénin doit faire face à des conditions météorologiques de plus en plus imprévisibles. Les changements de température, associés à des périodes prolongées de sécheresse ou des pluies torrentielles, perturbent les cycles de culture. Cela entraîne non seulement une réduction des rendements agricoles, mais également une sécurité alimentaire compromise pour les populations locales.
Conséquences Socio-Économiques
Les effets du changement climatique ne se résument pas à l’agriculture ; ils touchent également le tissu social des communautés rurales. La migration forcée due à des conditions de vie de plus en plus difficiles crée une pression sur les zones urbaines. Cela engendre des conflits sur les ressources, exacerbant ainsi les inégalités sociales et économiques. Les femmes et les enfants, souvent les plus touchés, font face à des défis accrus en termes d’accès à l’éducation et à des services de santé.
Changement climatique : les rumeurs face à une réalité convaincante
Depuis des décennies, le débat sur le changement climatique a alimenté les conversations à travers le monde. Ces derniers temps, cette discussion s\’est intensifiée, notamment grâce à la diffusion virale d\’informations sur les médias sociaux et sur Internet. Mais qu\’en est-il réellement de cette rumeur persistante selon laquelle le changement climatique n\’est pas scientifiquement prouvé ?
Un monde engagé contre les changements climatiques
Il est indéniable que les opinions divergent quant à l\’ampleur et aux causes du changement climatique. Cependant, il est important de souligner que la grande majorité des scientifiques s\’accordent sur le fait que le climat de la Terre est en train de changer et que les activités humaines y contribuent de manière significative.
Malgré les diverses interprétations, il existe un consensus scientifique solide sur le fait que les températures mondiales augmentent, entraînant des conséquences telles que la fonte des glaciers, l\’élévation du niveau de la mer et des événements météorologiques extrêmes.
Une étude publiée dans la revue scientifique \ »Proceedings of the National Academy of Sciences\ » a analysé 11 944 articles scientifiques sur le climat publiés entre 1991 et 2011, et a constaté que 97,1 % des articles exprimaient un consensus sur le fait que le changement climatique est d\’origine humaine.
Les preuves du changement climatique sont soutenues par des données empiriques, y compris des observations sur le terrain, des relevés satellitaires et des modèles climatiques sophistiqués, qui montrent une corrélation entre les émissions de gaz à effet de serre et l\’élévation des températures. Le National Aeronautics and Space Administration (NASA) des États-Unis collecte des données satellitaires et des observations de terrain qui confirment l\’augmentation des températures et d\’autres indicateurs du changement climatique.
Ignorer le changement climatique et ses effets potentiels sur notre planète et sur les générations futures pourrait avoir des conséquences désastreuses sur l\’environnement, l\’économie et la santé humaine. Le rapport spécial du GIEC sur les conséquences d\’un réchauffement planétaire de 1,5 °C met en évidence les impacts graves et irréversibles du changement climatique sur les écosystèmes, les ressources en eau, la sécurité alimentaire et la santé humaine.
Les réseaux sociaux favorisent la propagation de fausses informations sur le climat mais ils sont très peu à mettre en place des mesures pour lutter contre la désinformation climatique. Une étude réalisée en août 2023 démontre que le réseau social X n\’a pratiquement pas de mesure pour lutter contre les fake news.
En résumé, les preuves scientifiques soutiennent l\’existence du changement climatique et son lien avec les activités humaines. Les études, les observations et les rapports des principaux organismes scientifiques internationaux confirment que le changement climatique est une réalité à laquelle nous devons faire face de manière urgente. Ignorer cette crise pourrait avoir des conséquences irréversibles pour notre planète et pour l\’ensemble de l\’humanité.
Megan Valère SOSSOU
Water is at the heart of farmers’ struggle to survive in Benin
Small-scale farmers and local NGOs work together to create resilience in the face of climate change in this Western African country.
Market gardening site of the Itchèléré de Itagui agricultural cooperative in Dassa-Zoumè (Image credit: Megan Valère SOSSOU)
For the residents of Dassa-Zoumè, a city in the West African country of Benin, choosing between drinking water and having enough food has become a worrying dilemma.
“Last year, our horticultural production plummeted due to water scarcity,” said Chantal Agbangla, a farmer residing in Soclogbo, a town located about 30 minutes by car from the capital of Dassa-Zoumé. “We had to travel nine kilometers to find water, mainly for our agricultural and domestic needs.”
Family farming, a pillar of the economy in Dassa-Zoumè, is more threatened than ever by climate change. Small-scale farms cover only about 2% of cultivable land in the area of Dassa-Zoumé, and their very survival seems threatened because water has become an increasingly precious commodity. Residents can no longer rely on the rainy season, as the irregularity of precipitation has made it an unreliable water source. Instead, they have embraced agroecological horticulture as a contingency plan against climate change. Agroecology emphasizes sustainable farming practices that prioritize water retention in the soil, making this type of farming more resistant to drought.
How climate change is affecting Benin
Benin is already facing climate change impacts like long periods of drought followed by intense downpours resulting in flooding. Despite its marginal contribution to heat-trapping greenhouse gas emissions, representing only 0.05% of the global total, Benin is among the nations most vulnerable to climate change.
“The commune of Dassa experiences extreme rainfall variability, exacerbated by climate change.” Said Romanic OGOUWALE, a professor and researcher in geography specializing in climatology at the University of Abomey-Calavi, Benin’s principal public university. “A situation aggravated by rising temperatures and decreasing water resources in recent times.”
The climate is changing, and our journalists are here to help you make sense of it. Sign up for our weekly email newsletter and never miss a story.
In 2010, the country experienced severe flooding that affected crop production. In response to these challenges, the Beninese government is actively engaged in the implementation of strategies to reduce the country’s contribution to climate change and adapt to its effects, including providing farmers with short-cycle crop seeds that can be harvested every two months like corn, soy, peanuts, beans.
How women are responding
In Benin, women are increasingly involved in the creation of agricultural cooperatives to promote empowerment and engagement, as women play a crucial role in the agricultural sector. Like other regions of the country, in Dassa-Zoumè, several women’s agricultural cooperatives offer help to local farmers, such as the Itchèléré agricultural cooperative in Dassa.
“Even traditionally humid areas now suffer from drought,” said Yves GBEDJI from the Itchéléré agricultural cooperative in Dassa-Zoumè. “We must seek alternative water sources, sometimes traveling long distances to obtain it.” The LIFO and Olodjo rivers can supply water, but they are more than five kilometers away from these rural populations, making them difficult to access, especially without transport.
Women are often faced with the dilemma of having to choose between using water for household chores such as washing dishes and laundry, or for irrigating their vegetable crops.
“At times, we are forced to use water intended for our domestic needs to irrigate our horticultural crops, leading to conflicts within households,” said Chantal Agbangla.
“The commune of Dassa experiences extreme rainfall variability, exacerbated by climate change.
A situation aggravated by rising temperatures and decreasing water resources in recent times.”
Joséphine KOBA is one of the many women turning to horticulture. She is in her forties, a mother of five children and is involved in the Itchèléré de Itagui agricultural cooperative in Dassa-Zoumè. She is a trainer at the cooperative on the production of compost from agricultural waste. “With the instability of the rainy season, we opted for horticulture to provide food year-round, especially in the dry season,” she said. “We grow tomatoes, peppers, vegetables, okra, and many other essential products.”
Before agroecological practices were implemented, most crops were produced with chemical fertilizers. Now, locally made compost feeds these crops. However, access to water remains a major obstacle, especially in areas where the granite rock bed makes well construction difficult.
Building wells
Several projects and programs have been launched to help these vulnerable populations of Dassa Zoumè, particularly young people and women of Soclogbo, better cope with climate change. One recent project enabled farmers to install wells for irrigation, said Yves GBEDJI, a 30-year-old local farmer. The well program is funded by the Dutch Embassy in Benin. It aims to improve the food and nutritional security of rural populations through increasing agricultural productivity and increasing income.
“As for the Benkadi project, it trained us in sustainable techniques such as reforestation, building ditches, and rational water resource management,” said GBEDJI. The Benkadi project is led by a consortium of civil society organizations grouped in four different West African countries including Benin, Ivory Coast, Burkina Faso, and Mali with a Dutch partner, Woord end Daad. This project aims to strengthen the resilience and adaptation of local populations in the face of climate change.
What’s next?
This quest for water affects vulnerable individuals in rural communities of Dassa-Zoumè, notably children, women, people with disabilities, and young people.
For Marie Odile HOUNTONDJI, gender and social inclusion expert with the Benkadi project of the Civil Society Actors Platform in Benin, more vulnerable individuals should be involved in the conversations about how to face this problem. The objective, she said, is to achieve inclusive efforts to reduce the effects of climate change, especially in agriculture.
As the residents of Dassa-Zoumè struggle daily to access water, vital for their survival and that of their crops, one truth remains evident: In the face of the urgency posed by climate change, their resilience and determination stand as their most valuable assets.
Dans un contexte où le droit à la santé est de plus en plus mis à mal à travers le monde, plusieurs facteurs menacent la santé et le bien-être de millions de personnes. Maladies, catastrophes naturelles et conflits armés ont un impact dévastateur, entraînant décès, handicaps, souffrances et détresse psychologique.
Megan Valère SOSSOU
Dialogue ouvert à Parakou : les acteurs échangent pour la résilience climatique
L\’ONG Save Our Planet, en collaboration avec Open Dialogue International et le Journal Santé Environnement, a organisé un dialogue ouvert des plus pertinents le samedi 04 novembre 2023 à son annexe à Parakou. Cet événement a réuni un panel diversifié d\’experts, de citoyens engagés, et d\’agriculteurs passionnés pour discuter des impacts des changements climatiques au Bénin et dans de nombreux autres pays africains.
Vue d\’ensemble
Le débat animé par le Journaliste, Venance Ayébo TOSSOUKPE, a été le lieu d\’échanges fructueux, mettant en lumière les défis que les agriculteurs affrontent silencieusement en raison des extrêmes climatiques. Les participants ont identifié diverses stratégies de résilience, adaptées à leurs réalités locales, soulignant l\’importance de solutions contextualisées.
Tous les intervenants, experts, citoyens et agriculteurs, ont unanimement reconnu que les phénomènes climatiques extrêmes sont largement attribuables aux activités humaines.
Les panélistes
Augustin Accompli Sovegnon, agriculteur et technicien en agroforesterie, a souligné l\’importance cruciale de l\’information et de la formation des agriculteurs. Il a abordé des aspects pratiques tels que la mise à disposition des semences à cycle court, la valorisation des bas-fonds, et le réajustement du calendrier agricole. Selon lui, l\’éducation et la formation joueront un rôle clé dans l\’adaptation des agriculteurs aux nouvelles réalités climatiques.
Marie Reine Houndjo, figure éminente dans la lutte contre les changements climatiques, a mis en avant la nécessité de tenir compte des réalités locales des communautés lors de la mise en œuvre des mesures de résilience. Elle a insisté sur l\’intégration des opinions et des besoins des communautés par les décideurs et les organismes pour garantir l\’efficacité des solutions proposées.
En analysant les résultats scientifiques de nombreuses études, Marcel Adigbegnon a pointé du doigt la responsabilité des pays développés dans la situation actuelle, appelant à une justice climatique mondiale. Selon lui, l\’adoption de pratiques agricoles durables offre une lueur d\’espoir pour renverser la tendance.
Si Marcel Adigbegnon a averti des conséquences d\’une modernisation accrue de l\’agriculture dans la prochaine décennie, Marie Reine Houndjo a mis en garde contre les effets continus des changements climatiques sans des mesures appropriées. Augustin Accompli Sovegnon partage ce point de vue tout en maintenant un esprit optimiste.
Une partie des participants
Notons que la rencontre, organisée en version hybride, a attiré une trentaine de participants en ligne et en présentiel. Leurs préoccupations et idées ont enrichi les discussions, soulignant l\’importance de l\’engagement communautaire dans la lutte contre les changements climatiques.
Cet événement s\’inscrit dans le contexte actuel où le monde se prépare pour les échanges à la COP 28 à Dubaï. Il témoigne de la nécessité d\’une collaboration internationale Nord-Sud pour inverser la tendance climatique et préparer les communautés à un avenir plus durable.
En mobilisant un éventail diversifié d\’acteurs, l\’ONG Save Our Planet continue de jouer un rôle crucial dans la sensibilisation et l\’action concrète pour un avenir plus résilient face aux changements climatiques.
Megan Valère SOSSOU
Réinventer la célébration de la Journée Nationale de l’Arbre au Bénin
Ce jeudi 15 Juin 2023 au niveau d’une zone dégradée à proximité de la lagune de Porto Novo dans le quartier Louho, l’ONG Urgence Développement accompagnés de la Coalition des Organisations de Jeunes pour l’Eau et le Climat de Porto-Novo, avec ses partenaires que sont la Giz à travers le Programme AGIR Eau, Biris Technologie, le Réseau Béninois du Parlement Mondial de la Jeunesse Pour l’Eau (RB/PMJE), l’ONG SOS Biodiversity et le Journal Environnement et Santé ont procédé à la Célébration de la Journée Nationale de l’Arbre (JNA).
La particularité de la présente action réside dans l’adoption d’une démarche en trois axes que sont la forte implication des populations et élus locaux durant tout le processus (planification-mise en œuvre-suivi/bilan), l’innovation (capteurs de suivi de croissance des plants) et la durabilité (L’approche Atidogbè ).
A cet effet, en termes d’implication des acteurs, diverses rencontres/discussions et visites conjointes ont été tenues avec le Directeur départemental des eaux, forets et chasse de l’Ouémé et du plateau, le Chef d’Arrondissement de Ouando, et le Chef quartier de Louho accompagné de ses conseillers et des jeunes du quartier et ont permis d’identifier de manière participative la zone dégradées à restaurer, le type de plant adapté au milieu et le chronogramme de déroulement du processus.
La première phase de ce processus initié ce 15 Juin 2023 a connu les allocutions introductives du représentant du Chef d’Arrondissement, du Président de l’ONG Urgences Développement et du Conseiller Technique de la GIZ pour l’Ouémé.
Au total 03 communications ont été développés afin de fournir une meilleure compréhension à l’ensemble des parties prenantes des actions prévues dans le cadre de la présente initiative, de leur niveau d’implication et aussi des résultats prévus aux termes du processus qui durera les 12 prochains mois.
Après les diverses communications, une vingtaine de jeunes représentant d’organisation appartenant à la coalition des Organisations de Jeunes de Porto pour l’Eau et le Climat et accompagnés des jeunes du quartier ont alors procédé à la mise en terre de 60 plants de Terminalia superba (nom scientifique) ou Fraké avant de les protéger par des pneus usés recyclés. Il faut noter que de précisions sur le type de plant mis en terre et des exigences en termes d’entretien et de suivi ont été apportés par Monsieur Claude HOUNGA, Agro-pépiniériste représentant l’ONG SOS Biodiversity.
« L’approche Atidogbè, inspiré du projet la Grande Muraille verte mis en œuvre par l’Union Africaine permet aux organisations de jeunes membre de la coalition de se challenger entre eux dans l’entretien et le suivi des plants, avec comme récompenses à la clé des micro-subventions de 100 dollars pour leurs organisations respectives, mais également de contribuer à restaurer l’allée dégradée à proximité de la lagune de Porto Novo pour le bonheur de la population » explique Koto Daniel DAGNON le coordonnateur du projet.
« Quant au capteur de suivi des plants, il s’agit en réalité d’un assemblage de 04 capteurs permettant de mesurer : la taille du plant (2m maximum), l’humidité ambiante, l’humidité du sol et les différents minéraux » explique Monsieur Cédric HOUNOU de Biris Technologie aux participants.
« Je me réjouis que cette famille qui a vu le jour le 28 Avril continue d’être aussi active, et que notre idée formulée ensemble pour célébrer autrement la JNA au Bénin ait pu se concrétiser », tels sont les propos d’Elie TOVILOKOU, membre de la coalition mise place au cours de l’initiative intitulée « L’Après COP 27 : quels défis et engagements par les jeunes pour le climat en matière d’écogestes et de solutions fondées sur la nature.
Les jeunes du quartier Louho étaient très heureux d’être que leur zone soit retenue pour abriter une première dans la célébration de la JNA au Bénin et ont même d’ailleurs manifester leur désir d’être impliqué dans le challenge de l’Atidogbè une fois lancé officiellement.
Il en est de même que pour les partenaires qui ont accompagnés l’initiative notamment la Giz représenté par Monsieur Léandre DJEBOU qui dit : « Nous saluons vraiment l’innovation à travers les capteurs de suivi des plants, mais également l’accent mis sur la durabilité de l’initiative au moyen de l’approche Atidogbè. Ces critères que sont l’innovation et la durabilité sont primordiaux pour la Giz, et nous aurons à cœur de suivre l’évolution des activités les mois à venir. »
Action Climatique: YOU-CAN de l\’UNESCO recherche des jeunes
Cet appel à candidatures s\’adresse aux organisations et réseaux dirigés par des jeunes actifs dans le domaine du changement climatique, pour qu\’ils deviennent des représentants de réseau du Comité directeur du Réseau action climat des jeunes de l\’UNESCO (YoU-CAN).
Les 15 membres du comité de pilotage auront l\’opportunité d\’assumer différents rôles, notamment, coordinateur principal et coordinateur adjoint, secrétaire, coordinateur des partenariats, coordinateur des finances, coordinateur de la communication et de la sensibilisation, coordinateur régional, coordinateur thématique.
Processus connexes.
Les candidats éligibles représentant un réseau/organisation doivent :
appartenir et avoir une expérience de leadership dans une organisation ou un réseau actif dirigé par des jeunes dont les activités portent sur l\’action climatique ;
avoir entre 18 et 30 ans ;
être disponible au moins deux heures par semaine;
posséder une compréhension ou une connaissance de base de l\’UNESCO, de la CCNUCC, du Protocole de Kyoto, de l\’Accord de Paris, des objectifs de développement durable (ODD) et d\’autres conventions, déclarations et accords pertinents en rapport avec le changement climatique ;
maîtriser l\’anglais (écrit et oral);
être capable de travailler en ligne, avec accès à une bonne connexion en ligne ;
démontrer sa capacité à travailler dans un environnement multiculturel avec un sentiment d\’inclusivité et de respect.
L\’organisation ou le réseau doit dûment remplir le formulaire de candidature YoU-CAN ci-dessous, en fournissant des informations sur le réseau/l\’organisation et son représentant avant le 5 mars 2023 (23h45 CET).
Des efforts seront déployés pour assurer l\’équilibre programmatique, géographique et de genre de l\’UNESCO et l\’inclusion des PEID et des jeunes autochtones. Les candidats présélectionnés seront interviewés par un comité de sélection conjoint composé de membres actuels du groupe de pilotage ad hoc YoU-CAN et du Secrétariat de l\’UNESCO. Le processus de sélection se déroulera en anglais.
Vous êtes un jeune leader enthousiaste et motivé ? Vous souhaitez vous engager avec l\’UNESCO pour renforcer l\’action climatique des jeunes ?