Les cliniques privées du Bénin unies pour le bien-être de ses professionnels

Les projecteurs se braquent une fois de plus sur les Cliniques Privées du Bénin à l\’occasion des 4èmes Journées Nationales. Pour le compte de cette année 2024, c’est la salle de conférence du ministère du travail et de la fonction publique à Cotonou qui sert de cadre aux travaux desdites journées. Un événement capital qui se tient au lendemain de la fête du travail axé sur le bien-être des professionnels de la santé : État des lieux et Enjeux. L’objectif est d’améliorer les connaissances des professionnels de la santé sur la notion de qualité de vie ou de bien-être au travail et proposer des solutions.

Photos des officiels

Si cette année les professionnels de la santé ont souhaité réfléchir sur leur bien-être c’est bien parce qu’ils font face à d’énormes difficultés. Dans son allocution de bienvenue aux participants, Dr Yasmine Eyisse Kpossou, Secrétaire Générale Adjointe de l\’Association des Cliniques Privées du Bénin, porte-parole du comité d\’organisation a souligné l\’importance de cette initiative dans un contexte où les professionnels de la santé font face à des défis de taille.

Dr Yasmine Eyisse Kpossou, Secrétaire Générale Adjointe de l\’Association des Cliniques Privées du Bénin

Au nombre de ces défis, a-t-elle noté, se trouvent l’angoisse pour la survie de l’entreprise, la sécurité sociale, la retraite, la pression fiscale et les contraintes réglementaires qui semblent de plus en plus pesantes pour le privé, les plans de carrière et les possibilités de l’épanouissement professionnel.

Pr Latif Mousse, Président de la Plateforme du Secteur de la Santé Privé (PSSP)

Des problématiques qui tiennent à cœur au Président de la Plateforme du Secteur de la Santé Privé (PSSP), Pr Latif Mousse. Il se réjouit de la tenue de cette nouvelle édition de l’initiative portée par l\’Association des Cliniques Privées du Bénin reconnaissant l\’importance de s\’intéresser aux conditions de travail des acteurs du secteur privé de la santé. Il exprime sa gratitude au nom de la Plateforme du Secteur de la Santé Privé à l\’Association des Cliniques Privées du Bénin.

Comlan Vidéhouénou Agossou, représentant le Président du Conseil National de l’Ordre National des Médecins du Bénin

Comlan Vidéhouénou Agossou, représentant le Président du Conseil National de l’Ordre National des Médecins du Bénin, a souligné la responsabilité collective de garantir des conditions de travail optimales pour les professionnels de la santé.

Dans le même sillage, le Pr Francis Moïse Dossou, Directeur Général de la Médecine Hospitalière et de l’Exploration Diagnostique, représentant du ministère de la santé, témoigne de l\’engagement du gouvernement à améliorer le bien-être des professionnels de la santé. Il cite Jean Bodin pour rappeler que « Il n’est de richesse que d’homme » soulignant ainsi l\’importance de chaque maillon de la chaîne dans le secteur de la santé.

Pr Francis Moïse Dossou, Directeur Général de la Médecine Hospitalière et de l’Exploration Diagnostique

« Depuis le vigile jusqu’au chirurgien qui opère dans le secret des blocs opératoires en passant par le secrétaire, l’aide-soignant, le technicien de laboratoire, l’administrateur. Chaque maillon de la chaîne est important et parfois le maillon le plus fragile se révèle être le plus important, il importe donc de prendre en compte le bien-être de chacun. »

En ouvrant officiellement les 4èmes Journées Nationales des Cliniques du Bénin, la ministre Adidjatou Mathys a indiqué que l’accessibilité aux conditions de travail décentes pose encore de nombreux problèmes dont la sécurité et la santé au travail.

La ministre exprime son soutien total à toute initiative visant à améliorer la sécurité et la santé au travail des professionnels de la santé.

Adidjatou Mathys, Ministre du Travail et de la fonction publique

« Je me rends disponible ainsi que mes services compétents pour soutenir toute initiative visant à améliorer la sécurité et la santé au travail des professionnels de la santé qu’ils travaillent dans le secteur privé ou public. »

Adidjatou Mathys, Ministre du Travail et de la fonction publique

Elle promet que ses services vont collaborer étroitement avec les acteurs concernés pour élaborer et mettre en œuvre des projets et programmes qui répondent principalement à leurs besoins. Car, ajoute-t-elle, il est de notre devoir de veiller à ce qu’ils exercent dans des conditions optimales.

Convaincue que ces journées seront une opportunité de partage et d’échange pour un secteur de la santé plus résilient et plus inclusif au service de tous les Béninois, la ministre du travail a exhorté les acteurs à mettre en place dans leurs structures respectives les comités d\’hygiène et de sécurité au travail et les services de santé au travail qui concourent au bien-être des travailleurs.

Ces 4èmes Journées Nationales des Cliniques Privées du Bénin, placées sous le coparrainage du ministère de la santé et du ministère du travail et de la fonction publique, promettent d\’être un tremplin vers un secteur de la santé béninois plus résilient et inclusif. Avec la participation d\’acteurs locaux et internationaux, ces journées s\’annoncent comme une véritable source d\’inspiration et de propositions pour le bien-être des professionnels de la santé au Bénin.

Megan Valère SOSSOU




Les cliniques privées du Bénin engagées pour l’amélioration continue de la qualité et de la sécurité des soins de santé

Les cliniques privées du Bénin ont fait un grand pas vers l\’amélioration continue de la qualité et de la sécurité des soins de santé lors des troisièmes journées nationales des cliniques privées. Organisées par l\’Association des Cliniques Privées du Bénin en partenariat avec le Centre Hospitalier Universitaire Namur de Belgique et plusieurs autres sponsors, ces journées ont vu des spécialistes de la santé et des experts nationaux et internationaux se réunir à Cotonou les 5 et 6 mai 2023.

Photo de famille

L\’objectif principal de ces journées était de réfléchir à l’amélioration continue de la qualité et de la sécurité des soins dans le secteur sanitaire en particulier le secteur sanitaire privé. Il s’est agi aussi pour les acteurs d’échanger à la mise en place d\’un environnement institutionnel favorable à l\’amélioration de la qualité des soins et services au Bénin.

Les participants ont abordé plusieurs thématiques, notamment le concept et les déterminants de la qualité et de la sécurité des soins selon l\’OMS, l\’amélioration de la qualité des soins par la certification des établissements de santé et l\’accréditation des professionnels de santé, la qualité des soins et le développement durable, l\’écoconception des soins de santé, l\’hôpital durable, et enfin la recherche dans les formations sanitaires privées.

JNCP-3, pari gagné pour l\’Association des Cliniques Privées du Bénin

Pendant deux jours tout entiers, les acteurs ont échangé à travers des conférences débats, de jeu concours, de table ronde, des ateliers de formation et du symposium pour le développement des mécanismes d\’appropriation des stratégies d\’amélioration continue de la qualité et de la sécurité des soins de santé.

En outre, cette rencontre a permis aux cliniques de s\’imprégner de la nouvelle réforme conduite par Pr Lucien DOSSOU-GBETE à travers l\’Agence de Régulation du secteur Sanitaire. La variété des thématiques abordées au cours de ces journées est d\’une grande utilité pour le développement des cliniques privées selon Dr Jean H. N\’guessan du Cabinet Business Spring Consulting qui salue la nouvelle dynamique observée au Bénin à travers les réformes liées à certification et à l’accréditation.

De nombreux participants ont exprimé leur satisfaction quant à l\’efficacité des échanges, notamment Esther OGOUSSAN de Clinique Pédiatrique à Abomey-Calavi, qui compte partager les leçons apprises en matière d\’entretien et d\’accueil des patients avec son équipe pour une amélioration continue des soins. Camille Olympio, médecin responsable de la clinique St Camille, a également beaucoup appris et envisage de prendre de nouvelles dispositions en matière d\’organisation dans sa clinique.

Pour sa part, Dr Pauline MODRIE, Conseillère en Développement Durable au CHU UCL Namur de Belgique a déclaré être sortie très satisfaite et inspirée des échanges. « J’ai senti une énergie, un niveau de réflexion très avancée » a-t-elle fait savoir.

Son collègue, Benoît Libert, Directeur Général du Centre Hospitalier Universitaire UCL Namur de Belgique a, quant à lui, constaté un vrai investissement des autorités et des acteurs des cliniques privées au Bénin. Il se dit fier d\’avoir été invité et fier de voir à quel point le Bénin se développe avec des gens de qualité.

Les troisièmes Journées Nationales des Cliniques Privées du Bénin ont été un pari gagné pour l\’ACPB et ses partenaires, qui ont les yeux désormais rivés sur la quatrième édition. Une quatrième édition qui abordera selon les déclarations du Président de l\’Association des Cliniques Privées du Bénin, Dr Latif MOUSSE, du \ »Bien-être des professionnels du secteur privé de la santé: États des lieux et enjeux\ ».

Megan Valère SOSSOU




Entretien Exclusif avec Pauline MODRIE, Conseillère en développement durable au Centre Hospitalier Universitaire UCL Namur de Belgique

Le secteur sanitaire contribue à hauteur d\’environ 4,4 % aux émissions mondiales de CO2, émettant ainsi environ 2 milliards de tonnes chaque année. Ce secteur contribue aussi à diverses formes de pollution environnementale.

Pour comprendre la nouvelle approche éco-conçue des soins de santé, nous recevons dans cet entretien exclusif, Pauline MODRIE, Bio-Ingénieure et Conseillère en Développement Durable au Centre Hospitalier Universitaire UCL Namur de Belgique.

Journal Santé Environnement : Pauline MODRIE, dites-nous, être conseillère en développement durable pour un centre hospitalier, ça consiste à quoi ?

Pauline MODRIE : Il consiste à regarder tout en prodiguant des soins de qualité, avoir des soins qui impactent moins l’environnement. Des soins qui sont plus respectueux de l’environnement, des patients de l’hôpital et qui produisent aussi moins de gaz à effet de serre.

Journal Santé Environnement : Qu’en est-il de l’application de l’écoconception des soins ?

Pauline MODRIE : Quand on veut aller vers la qualité des soins, c’est surtout une question de gestion des risques pour le patient. Il y a des choses qu’on peut faire autrement par exemple l’énergie solaire, mais aussi concevoir les soins avec moins de matériels à usage unique quand c’est possible. Rechercher ce qu’il y a de mieux pour le patient en matière de qualité des soins et avoir moins de plastique.

Journal Santé Environnement : Quelle est l’expérience du CHU Namur de Belgique dans cette dynamique ?

Pauline MODRIE : Avec le CHU Namur, nous avons commencé par bien expliquer à tous les professionnels de la santé, pourquoi, c’est important de faire de l’écoconception des soins et d’avoir des soins moins impactant sur l’environnement.
Alors c’est important pour trois choses, on ne veut pas dégrader les conditions de vie de nos patients, de nos infrastructures hospitalières. La deuxième chose, c’est une question d’éthique, quand on revient au principe de déontologie. Avant tout, ne pas nuire. Enfin troisième chose, en Belgique les soins de santé, c’est un secteur qui impacte l’environnement avec les pollutions atmosphériques, le rejet des gaz à effet de serre. C’est également un secteur qui est important au niveau de l’emploi et de l’économie donc on veut y veiller.

De plus, ce qui se passe à l’hôpital est aussi un modèle pour les citoyens. Faire les choses autrement permet aussi d’engager la population vers plus de développement durable.

Pauline MODRIE

C’est pourquoi, au CHU Namur, on travaille à l’écoconception des soins. Nous formons les professionnels en les sensibilisant en regardant tout ce qu’il faut faire autrement. Mieux trier les déchets, utiliser moins de plastique toujours dans la meilleure qualité des soins.

Journal Santé Environnement : Pensez-vous qu’on peut appliquer cette nouvelle approche dans un pays en développement, comme le Bénin ?

Pauline MODRIE : Certainement pas de la même façon qu’on l’applique en Europe parce que le contexte est différent. Je pense que dans les pays comme ici, il y a le potentiel par exemple à avoir de l’énergie propre. En Belgique, il y a des panneaux solaires sur les toits des hôpitaux. Ça permet d’avoir un accès plus facile à l’énergie.

Pour le reste des problématiques, je pense qu’il faut d’abord développer la qualité des soins en intégrant la dimension du respect de l’environnement.

Face au changement climatique, à la dégradation de la biodiversité et à toutes les pollutions environnementales, le développement durable doit être intégré dans la dynamique des soins de santé pour des soins de meilleure qualité pour les patients.

Pauline MODRIE

Journal Santé Environnement : Dans ce sens, quel message avez-vous l’endroit des pouvoirs publics ?

Pauline MODRIE : C‘est important d’avoir le soutien des pouvoirs publics pour aller dans la même direction pour savoir aussi ce qu’on doit faire, avoir des guidelines pour faire les meilleures choses possibles tout en gardant en tête la meilleure qualité des soins.

Journal Santé Environnement : Le développement durable, c’est quand même trois piliers, le social, l’économie et l’environnement. En-dehors de l’environnement comment pouvez-vous décrire l’interaction avec le social et l’économie ?

Pauline MODRIE : Ce sont des thématiques qui se rejoignent parfaitement parce que quand on est plus respectueux de l’environnement, c’est aussi l’environnement de travail des travailleurs, utiliser des produits qui polluent moins le milieu de travail des travailleurs. C’est aussi du social. Et quand on recommande une meilleure utilisation des ressources, c’est pour plus d’efficience et plus d’efficacité des soins. Mais on est aussi dans un cercle qui peut être vertueux en économie.

Je pense que les enjeux de la qualité des soins sont extrêmement importants. Les échanges que j’ai eus aujourd’hui démontrent que la dimension du développement durable peut être parfaitement intégrer puisse qu’elle est logique pour tout le monde pour de meilleurs soins de qualité.

Propos recueillis et traités par Megan Valère SOSSOU




Lancement officiel de la 3e édition des Journées Nationales des Cliniques Privées du Bénin

La troisième édition des Journées Nationales des Cliniques Privées du Bénin s\’est ouverte officiellement ce vendredi 05 mai 2023 à Benin Atlantic Beach Hôtel de Cotonou. Une rencontre de haut niveau organisée par l’Association des Cliniques Privée du Bénin en vue de se pencher sur l’amélioration continue de la qualité et de la sécurité des soins dans le secteur sanitaire et plus précisément dans le secteur privé et accroître le niveau de satisfaction des patients dans les établissements de santé.

À l’ouverture, Latif MOUSSE, Président de l’Association des Cliniques Privée du Bénin (ACPB) a accueilli les participants et remercié les différents partenaires et sponsors pour leur soutien constant aux actions du secteur sanitaire. Grâce aux différentes compétences réunies, il nourrit l’espoir que les échanges seront  fructueux entre congressistes et experts.

La vice-présidente de la Plateforme du Secteur Sanitaire Privé, Béatrice RADJI dans son allocution a rappelé le rôle crucial que joue le secteur sanitaire privé à travers les cliniques privées pour l’accès des populations béninoises aux soins de santé.

Les avancées constatées au niveau du secteur sanitaire privé rejoignent l’engagement de l’ASBL Solidarité Coopération Médicale de Belgique (SOCOMED). Il s’agit pour l’ASBL SOCOMED de coopérer et de manifester de la solidarité envers ceux qui en ont besoin pour améliorer un système de santé. Son Président, Georges LAWSON, recommande à « faire chez nous et avec nous ce dont la population a besoin pour mieux se porter ».

Benoît-Yves LIBERT, Directeur Général du Centre Hospitalier Universitaire UCL Namur de Belgique est heureux de participer à une troisième fois aux nouvelles Journées Nationales des Cliniques Privées du Bénin. « À chaque mission, nous apprenons et nous revenons avec beaucoup plus de richesse que nous partageons sur place en Belgique. »

À l’en croire, en plus de la problématique liée à la qualité, la démarche du développement durable doit être aussi au centre des préoccupations parce que justifie-t-il, « nous sommes dans un monde qui se développe. Ne pas mettre le développement durable au centre de notre réflexion serait une erreur. »

Nécessité d’accompagner le processus d’investissement en matière d’équipements

Pour Régis Facia, Vice-Président du Conseil National du Patronat du Bénin, les cliniques privées au Bénin, en plus de soigner la population créent de la richesse et des emplois. C’est pourquoi, le patronat du Bénin est fier de participer à cette rencontre.

Il a soulevé la problématique liée à l’insuffisance d’équipements sanitaire et pour cela, il promet de jouer les plaidoyers en faveur de l’accès aux crédits bancaires pouvant faciliter l’achat d’équipement pour une amélioration de la qualité des services de santé au Bénin.

En ouvrant officiellement, les travaux des troisièmes journées nationales des cliniques privés du Bénin, le représentant du Ministre de la Santé, Francis DOSSOU a félicité les organisateurs pour le choix du thème principal qui, à l’en croire entre dans l’actualité des réformes dans le secteur. « La santé est un droit fondamental et constitutionnel, mais l’accès à la qualité optimale et la sécurité en matière de santé est également d’une grande importance. » a-t-il ajouté.

L’ACPB occupe une place importante dans l’exercice de la médecine en clientèle privée

Il n’a pas manqué de saluer l’ouverture et le leadership de toute l’équipe de l’Association des Cliniques Privées du Bénin qui en réalité occupe une place importante dans l’exercice de la médecine en clientèle privé. Car, soutient –il, elle aide à la prise de décisions. À titre illustratif, plusieurs décisions ont été prises avec le concours de l’ACPB sur un certain nombre de politiques en matière de santé. Il a appelé à un engagement plus poussé des acteurs, à cet effet. Les stands garnis de solutions sanitaires ont été visités par les participants à cette rencontre.

Rappelons qu’au cours de cet événement de riches thématiques seront abordées à travers des conférences débats, des jeux concours, une table ronde, des ateliers de formation et symposiums. Il s’agit du concept et déterminants de la qualité et de la sécurité des soins selon l’OMS, l’amélioration de la qualité des soins par la certification des établissements de santé et l’accréditation des professionnels de santé, la qualité des soins et développement durable, l’écoconception des soins de santé, l’hôpital durable : un subtil équilibre entre éthique, compétences et résilience, la recherche dans les formations sanitaires privées.

Megan Valère SOSSOU




Les troisièmes Journées Nationales des Cliniques Privées du Bénin s’ouvrent demain à Cotonou

Les troisièmes journées nationales des Cliniques Privées du Bénin, organisées par l\’Association des Cliniques Privées du Bénin en partenariat avec le Centre Hospitalier Universitaire CHU UCL Namur de Belgique, s\’ouvrent demain à Cotonou. Cette édition, qui se déroulera du 5 au 6 mai 2023, fait suite au succès des précédentes éditions.

Placées sous le haut parrainage du Ministre de la Santé du Bénin, Benjamin HOUNKPATIN, cet événement rassemble les acteurs du secteur sanitaire privé autour du thème \ »Amélioration continue de la qualité et de la sécurité des soins\ ».

Les participants pourront ainsi échanger sur les nouvelles réformes dans le secteur, notamment le processus d\’accréditation  des professionnels de la santé et de la certification des structures de soins. De riches activités sont au programme de cette rencontre internationale, avec notamment un atelier pratique sur l\’hygiène hospitalière.

Notons que les journées nationales des cliniques privées du Bénin constituent un cadre de concertation annuelle, de mutualisation, de partage d\’expérience et de renforcement de capacités entre acteurs du secteur sanitaire privé du Bénin.

Cette édition promet d\’être riche en enseignements et en échanges, offrant ainsi une occasion unique de renforcer la collaboration et l\’innovation dans le domaine de la santé au Bénin.

Megan Valère SOSSOU