Nature Tropicale au 1er Congrès régional sur les tortues marines en Afrique de l\’ouest

Le premier congrès des tortues marines se tient du 9-13 Nov 2020 à Lome au Togo. Une rencontre à laquelle participe activement la réputée organisation dans le domaine, Nature Tropicale du Bénin.

Face aux menaces grandissantes qui pèsent sur les tortues marines, les acteurs de la société civile africaine s’organisent en réseaux pour renforcer la protection de ces espèces emblématiques et menacées de disparition. Les cinq espèces de tortues marines présentes en Afrique Centrale et de l’Ouest sont classées de « vulnérable » à « en danger critique d’extinction » sur la liste rouge de l’UICN. 

Soutenus par le Programme de Petites Initiatives (PPI) géré par le Comité français de l’UICN et UICN-PACO, les deux réseaux frères de la sauvegarde des tortues marines, RASTOMA1 et WASTCON2, organisent du 9 au 13 novembre 2020, à Lomé au Togo, leur premier congrès régional sur les tortues marines en Afrique de l\’Ouest et du Centre. C’est une étape clé pour la construction d’une stratégie régionale de conservation des tortues marines efficace en Afrique atlantique, portée par la société civile avec l’appui des institutions régionales.

Le congrès régional RASTOMA / WASTCON réuni plus de 50 acteurs engagés dans la préservation des tortues marines et des habitats côtiers Atlantique en Afrique de l’Ouest et du Centre. L\’objectif est de renforcer la dynamique de collaboration et les échanges entre les sociétés civiles travaillant sur les tortues marines en Afrique centrale et de l’ouest. 

*Le Bénin est représenté par Nature Tropicale ONG, ACTION Plus et ECOBENIN* actives sur la problématique de la sauvegarde des tortues marines sur le littoral du Bénin.

Nature Tropicale ONG

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Togo/Lomé : Voici une offre inédite de formation certifiée en animation et facilitation des projets communautaires

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📍📍 Notre mission :

*Œuvrer pour la promotion et la Professionnalisation   des métiers d\’Animations et de Facilitation de Projets de Développement Communautaires au Bénin et dans la sous région.

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 *☎️Info:* +229 90396291/63664080

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Non respect des mesures liées au Covid-19 : PAX EXPRESS met en danger la vie de ses passagers

 


Alors que les pouvoirs publics de plusieurs villes béninoise ont mis en place les mesures préventives pour circonscrire la propagation du coronavirus dans les transports à savoir distanciation et port de masque, l\’utilisation de gel hydro alcool, force est de constater que l\’on en est bien loin du satisfecit escompté.

Dans les transports en commun, notamment les bus de transport en commun, on semble être hors du temps et de l\’espace au regard de citoyens pas concernés outre mesure, malgré les dispositions préventives prises par les autorités gouvernementales pour faire face au danger de propagation du Coronavirus (Covid19).

Aux heures de pointe, le transport en commun plonge dans un paradoxe qui lui est propre. Lundi 09 Novembre 2020, il sonnait 12h 55, nous (Megan Valère SOSSOU) venons à peine de prendre notre ticket à la compagnie de transport en commun Pax Express après une longue et houleuse discussion par rapport au respect de la distanciation. On (agent Pax Express) me rassurait de ce qu\’il n\’y aura pas d\’encombrements, ni de surcharges. En effet, pas de deux personnes côte à côte. Ce qui signifie en français facile qu\’il aura une personne pour deux places. 

Pax Express fait fit des mesures barrières au Covid-19

Après un semblant de démarrage à 13h 00 minute, place à l\’encombrement et à la surcharge. Un vil individu, qu\’il soit le conducteur du bus ou le tickettier principal, nous n\’en savons rien. Il nous obligeait à accepter deux personnes à côté de nous. Toutes tentatives de notre part pour comprendre la situation ont été vaines. Après qu\’il ait proféré des menaces contre nous alors quon résistait à sa demande, il nous a fait brutalement rembourser notre ticket. Ce que nous avons accepté pour enfin rejoindre un nouveau bus. Il s\’agit de la compagnie de transport Afrique Transport Voyage où les mesures barrière au coronavirus étaient strictement appliquées.

Comme Pax Express, ils sont nombreux ces bus de transport à tenir tête à l\’Etat dans sa volonté de lutter contre le Covid-19.

Avec ce non-respect des mesures de prévention contre le coronavirus dans les transports en commun que des milliers de citoyens utilisent chaque jour dans les villes, se pose la question de l\’effectivité du reste des mesures arrêtées par les autorités dont l\’harmonisation des prix. Car, en plus de la surcharge, le comble est quaucun dispositif de lavage des mains, ni de l\’application du gel hydro alcool ne sont effectif ni à l\’embarquement au grand parc auto de Parakou encore moins à la destination (Bohicon ou Cotonou).

Un transport en commun encombrant et dégoûtant

Il est donc clair que les transports en commun sont malades de l\’encombrement et du non-respect de la distanciation sous prétexte de la baisse de leurs revenus. Pourtant, au nombre des mesures pour atténuer les effets néfastes du Covid 19 sur le transport, le gouvernement à faire sortie une bagatelle de fonds qu\’ils ont allègrement reçu.

A l\’heure où le nombre d\’infections dues au coronavirus a repris à une vitesse exponentielle en Europe, l\’Afrique qui nest pas loin dune seconde vague doit sy préparer. A moins que les autorités béninoises ont déjà fléchit devant la maitrise de la situation liée au coronavirus, cette malheureuse expérience mais très courante dans les transports en commun en République du Bénin peut continuer. D\’ailleurs, je n\’en suis pas sûr et en appelle à la réaction des autorités en charge de la sécurité publique. 

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Concours du meilleur billet, Blog4Dev 2021 : testez vos talents de bloggeur en 650 mots !

L\’hiver dernier, la planète entière se figeait en découvrant l\’existence du coronavirus (COVID-19) et sa vitesse de propagation. Pour tenter d’y remédier, le monde s’est confiné, les écoles ont fermé, les chaînes de production ont cessé de fonctionner, la vie sociale s’est interrompue, les gens se sont cloîtrés chez eux. Tout a changé.

Aujourd’hui, l’ampleur de la pandémie et ses effets dévastateurs sur les êtres humains et les économies sont colossaux. Le 8 octobre 2020, l\’Organisation mondiale de la santé recensait 36 millions de personnes infectées dans le monde, dont 1,2 million en Afrique.

« La pandémie de COVID-19 est une crise à nulle autre pareille. Son bilan est lourd et les populations des pays les plus pauvres en souffriront sans doute le plus profondément et le plus longtemps. Elle a coûté des vies et bouleversé les moyens d’existence dans toutes les régions du globe », constatait David Malpass, le président du Groupe de la Banque mondiale, dans son discours d’introduction aux Assemblées annuelles qui se tiendront virtuellement cette année, du fait de la pandémie. « Elle a plongé plus d’économies dans des récessions simultanées que n’importe quelle autre crise depuis 1870. Et elle pourrait entraîner les premières manifestations d’une décennie perdue marquée par une croissance atone, l’effondrement de nombreux systèmes sanitaires et éducatifs, et le surendettement.»

Si les chiffres montrent que l’Afrique semble être relativement épargnée par rapport à d’autres régions du monde, l’impact socioéconomiques du virus n’en est pas moins sévère.  Selon notre dernier rapport Africa’s Pulse, sur les perspectives économiques de la région, la croissance en Afrique subsaharienne devrait chuter à -3,3 % en 2020, entraînant le continent dans sa première récession économique en 25 ans. La pandémie risque aussi de faire basculer 40 millions d’Africains dans l’extrême pauvreté, effaçant au moins cinq années de progrès dans la lutte contre la pauvreté.

Par ailleurs, « la COVID-19 ne sera pas la dernière situation d’urgence sanitaire que connaîtra le monde et il est urgent de se préparer durablement pour faire face à la prochaine »,  a averti l’OMS. Il est donc important que les pays africains parviennent non seulement à faire face à la crise sanitaire actuelle, mais se préparent aussi à la suivante. Beaucoup de pays ont déjà mis en place des mesures pour sauver des vies, protéger les moyens de subsistance et bâtir un avenir plus solide.

Afin d’apporter une solution collective à un défi collectif, nous souhaiterions également recueillir l’avis de la jeunesse africaine sur la riposte COVID-19. Répondez en 650 mots maximum à la question suivante, en fonction du contexte de votre pays :

Comment les jeunes peuvent-ils s\’associer à leur gouvernement et aux organisations de la société civile pour faire face à l\’impact de la COVID-19 et construire un système social et économique plus solide après la pandémie ?

Lancé en 2014 par l’antenne de la Banque mondiale au Kenya, le concours #Blog4Dev invite chaque année les jeunes à s’exprimer sur un enjeu crucial pour le développement économique de leur pays. Cette initiative permet d’impliquer la jeunesse africaine dans le développement du continent et fournit aux jeunes une plateforme pour partager leurs points de vue et leurs solutions sur des sujets qui leur tiennent à cœur. Le concours a pris une dimension régionale en 2018, depuis lors, les jeunes des 48 pays d’Afrique subsaharienne peuvent y participer. Les billets des lauréats des différentes éditions de Blog4Dev alimentent le contenu et la communauté de bloggeurs de notre plateforme Youth Transforming Africa. Appuyée par la Banque mondiale, l’initiative Youth Transfoming Africa visant à accroître la participation des jeunes Africains aux réflexions et discussions sur le développement de leur continent.

DÉTAILS

DATE-LIMITE DE DÉPÔT DES BILLETS: 30 novembre 2020

CONDITIONS D’ADMISSION: Être ressortissant d\’un pays d\’Afrique subsaharienne, y résider actuellement et avoir entre 18 et 28 ans au 30 novembre 2020.

SUJET: Comment les jeunes peuvent-ils s\’associer au gouvernement et aux organisations de la société civile pour faire face à l\’impact de la Covid-19 et construire un système social et économique plus solide après la pandémie ?

Cliquez ici 👇pour en savoir plus

https://www.banquemondiale.org/fr/events/2020/10/16/blog4dev-2021

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Café Climat : Pari gagné pour l\’ONG Save Our Planet

Les jeunes de la commune de Parakou sont désormais engagés pour être des sentinelles écologiques. C\’est à travers une formation au web activisme environnemental suivi dun débat ouvert, inclusif, participatif et décisif organisé par l\’ONG Save Our Planet en collaboration avec GAEDD ONG, EVDD ONG et la plateforme Talk AG.

Impliquer la jeunesse béninoise à la protection de l\’environnement, précisément dans la lutte contre le réchauffement climatique. Tel est l\’objectif de la rencontre de ce jour 07 Novembre 2020 dénommée Café Chaud & Climat Chaud. L\’évènement a reçu une visite surprise du leader, Directeur Exécutif DevEnergy et Fondateur des Africa EcoCitizens Days. Pour M. Wakil Oloulade l\’initiative est salvatrice et mérite l\’accompagnement de DevEnergy.

Au nombre d\’une trentaine, les participants venus des différentes contrées de Parakou, ont eu droit à une riche formation sur le web activisme environnemental. L\’occasion a été pour le Formateur Megan Valère SOSSOU, Activiste Blogueur Ecolo d\’outiller les jeunes pour la défense de l\’environnement vaille que vaille. Selon lui, défendre l\’environnement n\’a jamais été aussi risqué qu\’à l\’ère du numérique. 

Il urge que les jeunes s\’érigent en sentinelle de la nature sur le terrain et sur le net a-t-il souligné. Il faut noter qu\’à l\’issue de sa présentation, le thème Parakou à l\’épreuve du réchauffement climatique, a été mis au centre des discussions. Dans une ambiance de convivialité, les participants ont déploré des problèmes qui continuent de maintenir la commune de Parakou dans une situation de crise environnementale et climatique. Les uns et les autres n\’ont pas manqué de faire des propositions pour améliorer la situation. Lesquelles propositions seront adressées à l\’autorité communale.

Rappelons que l\’évènement est à sa première édition et sera répliqué dans plusieurs autres communes chefs de département sur toute létendue du territoire national. Bertin DEGNON, est lun des jeunes participants au Café Climat édition Parakou 2020, il avoue être mieux outillé pour dénoncer et apporter des changements dans sa communauté. Comme lui, ils sont beaucoup à décider transformer leurs communautés avec les acquis de linitiative Café Chaud & Climat Chaud.

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L\’ONG Save Our Planet organise un Café Climat à Parakou

Face à la récurrence des impacts du réchauffement climatique sur les communautés locales, les jeunes se trouvent être l\’ultime repère pour un solide plaidoyer, une grande mobilisation et de véritables propositions en vue de redorer le blazon.


ar Constance AGOSSA

Ainsi, l\’ONG Save Our Planet organise une #Open_Dialogue dénommée Café Chaud & Climat Chaud  en partenariat avec GAEDD ONG, TALK AG et EVDD, le Samedi 07 Novembre 2020 à Parakou. Il s\’agit d\’un débat ouvert, inclusif, participatif et décisif impliquant une cinquantaine de jeunes sur la situation climatique au niveau local. 

L\’évènement qui est à sa première édition sera l\’occasion pour les jeunes participants de recevoir une formation au Web activiste environnemental animé par le Président de l\’ONG Save Our Planet, Megan Valère SOSSOU en ses qualités de Journaliste, Analyste environnemental et d\’Activiste Blogueur. S\’en suivra une communication animé par Dr ALOMASSO, Chef Antenne Nord de l\’Agence Nationale de Protection Civile sous le thème Parakou à l\’épreuve du réchauffement climatique, bouclée d\’un débat en plénière. A l\’issue de cette activité qui va durer 5h de temps, soit de 8h à 13h, des recommandations seront transmises à travers une feuille de route adressée aux autorités locales. L\’ONG Save Our Planet est détentrice de la marque de ce projet. Pour son Président, il s\’agit de la nouvelle solution  pour une participation active des jeunes à la lutte contre le réchauffement climatque au plan local.

Tous à Parakou pour le rendu du projet Café Chaud & Climat Chaud qui sera désormais cyclique dans les chefs lieux des departements du Bénin a t-il annoncé.

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Finance Climat : Voici le bilan 2020 (Climate Chance)

COMMUNIQUÉ DE PRESSE

LE 28 OCTOBRE 2020 : PUBLICATION DU BILAN MONDIAL DE LA FINANCE CLIMAT 2020 

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Réalisé en partenariat avec Finance for Tomorrow, comme ses deux éditions précédentes, ce bilan constitue une analyse et un suivi de l’action climat des banques, des assureurs et des investisseurs. Il présente aussi les dynamiques du marché avec l’évolution et l’offre des produits financiers verts.
 

Climate Chance publie cette 3e édition du Bilan mondial de la finance climat à l’occasion de la semaine Paris for Tomorrow, organisée du 23 au 30 octobre par Finance for Tomorrowautour du Climate Finance Day. Un événement international qui réunit la communauté financière, les autorités locales et publiques et la société civile pour mettre en lumière les questions et solutions liées au financement et à la réalisation des objectifs climatiques et des objectifs de développement durable (ODD).
 
L’édition 2020 rend compte de la prise de conscience croissante par les acteurs financiers de leur rôle majeur dans la transition bas-carbone de l’économie réelle, mais également dans les facteurs qui sous-tendent sa réussite : la protection de la biodiversité et l’impact social des investissements et des produits financiers.
 LES GRANDES TENDANCES DECRYPTEES DANS NOTRE BILAN MONDIAL DE LA FINANCE CLIMAT EN 2020

  • La progression de l’intégration du changement climatique dans les décisions des acteurs financiers
  • L’accélération du mouvement par la réglementation et la supervision financière
  • L’intégration progressive des enjeux de biodiversité
  • Les effets de la pandémie de Covid-19
  • Les tendances récentes de la finance verte
Ronan Dantec
Président de Climate Chance

 

“ À quelques jours du 5anniversaire de l\’Accord de Paris, cette troisième édition du bilan réalisé par Climate Chance et Finance for Tomorrow, rend compte de la prise de conscience croissante par les acteurs financiers de leur rôle majeur dans la transition bas-carbone de l\’économie réelle, mais également dans les facteurs qui sous-tendent sa réussite : la protection de la biodiversité et l\’impact social des investissements et des produits financiers. Il analyse de manière plus précise chaque année la nécessité de cohérence de l\’action de la finance au regard des enjeux climatiques et environnementaux. ”
Thierry Déau
Président de Finance For Tomorrow

 
“ Je suis heureux que, pour la troisième année consécutive, Finance for Tomorrow contribue à l’édition annuelle du bilan de l’action climatique du secteur financier publié par Climate Chance. Nos axes prioritaires coïncident avec les nouvelles frontières identifiées par ce bilan : financement de la biodiversité, dimension sociale, fintech verte ou encore alignement sur les objectifs de l’Accord de Paris. Il comprend des informations chiffrées et détaillées et nous fournit également des pistes pour nourrir notre travail collectif, au niveau français et international. ”
Liens vers les documents, disponibles en français et en anglais : Bilan mondial finance climat 2020 – Résumé aux décideurs.

Le Bilan mondial de la finance climat s’inscrit dans un ensemble de publications de notre Observatoire de l’action climat non-étatique créé en 2018 et rassemblant à ce jour 4 Bilans mondiaux annuels : finance, sectoriel, territoires, adaptation ainsi que de nombreux cas d’étude. Climate Chance poursuit ainsi sa mission de montrer l’évolution des mobilisations, de crédibiliser les stratégies des acteurs par rapport aux objectifs climatiques internationaux, et d’observer ainsi la réalité des actions annoncées.

CONTACT PRESSE

CLIMATE CHANCE – Virginie Foucault-Rougé, responsable communication ǀvirginie.foucault-rouge@climate-chance.org ǀ +33 6 11 96 25 10 – Amaury Parelle, coordinateur de l’Observatoire ǀamaury.parelle@climate-chance.org ǀ +33 6 51 46 48 14
FINANCE FOR TOMORROW – Pauline Leménicier, chargée de mission communication & événementiel ǀ
p.lemenicier@financefortomorrow.com
ǀ +33 1 70 98 06 46

 
PRESENTATION DES ORGANISATIONS 
 

CLIMATE CHANCE – Crée en 2015, Climate Chance est la seule association internationale, participant à la mobilisation dans la lutte contre le changement climatique, se proposant de réunir à égalité l’ensemble des acteurs non-étatiques reconnus par la Convention Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques – CCNUCC. Son objectif ? Renforcer l’action climat des collectivités locales, des entreprises et de la société civile par la mise en réseau des acteurs, faire émerger des priorités et des propositions communes, et ainsi, contribuer à l\’atteinte des objectifs de l\’Accord de Paris.
www.climate-chance.org

FINANCE FOR TOMORROW – Finance for Tomorrow est la branche de Paris EUROPLACE lancée en juin 2017 pour faire de la finance verte et durable un élément moteur du développement de la Place de Paris et la positionner en centre financier de référence sur ces enjeux. Elle réunit plus de 80 membres signataires d’une charte commune visant à réorienter les flux financiers vers une économie bas-carbone et inclusive, en cohérence avec l’Accord de Paris et les Objectifs de Développement de Durable (ODD) de l’ONU.
www.financefortomorrow.com

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21 rue du Faubourg Saint-Antoine 
75011 Paris

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Présence sur internet et Réchauffement Climatique : les activistes climat veulent une chose et son contraire

  

Le Covid-19 est une maladie infectieuse provoquée par le coronavirus le plus récemment découvert, le SRAS-CoV-2. Apparue à Wuhan (Chine) en décembre 2019, la maladie s’est rapidement propagée à travers le monde, perturbant profondément plusieurs grands évènements en faveur du climat, la biodiversité, l’eau etc.… Du coup, les institutions ou organisations internationales et nationales se sont simplement repliés sur internet, comme alternative. Notre consommation quotidienne et croissante des outils numériques est plus énergivore qu’il n’y paraît.

Télétravail, visioconférence, du direct, du streaming, vente en ligne, appels vidéos, ce sont là des expressions utilisés par les activistes pour commettre le péché climatique favorisé par la crise pandémique liée au coronavirus, Covid-19. Plusieurs plateformes numériques sont mises à contribution dont les plus courants sont : Zoom, Skype, Youtube. En effet, cette présence active sur internet génère de mégas donnés. Ces derniers stockés dans des centres de données consomment assez d’énergie.

L’internet réchauffe le climat

L’internet est alimenté par une gigantesque énergie. Nul doute que le secteur énergétique soit le principal émetteur de dioxyde de carbone, gaz au centre du réchauffement climatique selon les scientifiques du GIEC. Dès lors, le repli sur internet a coûté et continue de couter cher au climat mondial. Il engendre par contre une pollution astronomique d’autant plus inquiétante qu’elle est invisible. Pendant qu’il est une source importante de consommation énergétique et donc d’émissions de gaz à effet de serre, des actions sur internet tendant à lutter contre le phénomène ne sont qu’utopique.

En voici quelques chiffres qui soutiennent les affirmations : Quatre (04) grammes de CO2 émis pour chaque mail envoyé. Sept (07) tonnes de CO2 par jour pour les recherches sur Google. L’envoi d’un simple e-mail avec une pièce jointe, c’est l’équivalent d’une ampoule de 25W basse consommation allumée pendant une heure alors que sans pièce jointe, c’est cinq fois moins. Chaque minute, c’est des dizaines de millier de vidéos qui sont ajoutées sur Youtube. Les chiffres sont tout autant alarmant pour Google, le leader des moteurs de recherche : c’est 3,3 milliards de recherche par jour.

Des empreintes écologiques sur internet, c’est possible

C’est enfin claire que le numérique pollue, mais il existe des habitudes simples à adopter pour faire baisser sa consommation énergétique. Ainsi, comme l’on doit bien trier ses déchets, il existe également des habitudes simples à adopter pour gérer sa consommation d’énergie liée à l’informatique. 

En voici quelques-uns, pour bien gérer ses mails, sa navigation, son stockage et enfin sa présence sur internet.

Pour commencer, un geste tout simple : alléger ses mails en enlevant les images et en privilégiant le format texte simple. Eviter aussi d’envoyer ou transférer des pièces jointes inutiles. Ensuite, il faut éviter de passer systématiquement par un moteur de recherche pour se rendre sur un site internet si vous en connaissez l’adresse. Enregistrez-y tous les sites que vous consultez régulièrement, puis accédez-y directement. Il existe aussi des moteurs de recherche éco responsables qui compense le CO2 dépensé par les recherches, comme Ecosia, ou Lilo. Enfin, de manière générale, il vaut mieux choisir le téléchargement plutôt que le streaming, qui est énergivore plus que la télévision.

En claire, tout ce que l’on fait sur internet a un impact énergétique, auquel le climat paye lourdement le prix. Cependant, il est important d’en avoir conscience.

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Baromètre Citoyen du Covid-19 : L\’ONG Save Our Planet y prend part


L\’ONG Save Our Planet, représenté par son Chargé de Projet Education, BONON Boris, a participé le 25 Septembre 2020 au Codiam (Cotonou) à un atelier de co-création, le premier d\’une série de six (06) ateliers sur les données ouvertes dans le cadre de l\’initiative citoyenne dénommée « BAROMETRE CITOYEN DU COVID19 ».
Ce projet de la plateforme citoyenne Voix et Actions Citoyennes, vise à mettre les organisations de jeunes au cœur d’une démarche participative d’ouverture des données et de contribuer à l’émergence des perceptions citoyennes sur la Covid-19 et son impact.


Cet atelier a permis aux participants d\’appréhender les bases du projet et la necéssité de s\’échanger les données dans un contexte de crise liée au Covid I9 par les jeunes citoyens. Il a été une occasion de donner et de reçevoir riche en partage d\’expérience. Les dés étant jetés, cap est désormais mis sur le prochain atelier.


Rappelons que, cet atelier fait suite à l\’appel à participation lancé par Voix et Actions Citoyennes, aux organisations et associations de jeunesse légalement constituées et intervenant au Bénin. L’idée est de travailler en  synergie et de faciliter le partage d\’expériences autour des données ouvertes avec les organisations de jeunesse volontaires dans une démarche de co-création et de validation du protocole de baromètre participatif.
Ce projet de six (06) mois, répartit en six (06) ateliers dont le premier s\’est ouvert ce matin a reçu le financement de l\’AFD dans le cadre du projet PAGOF mis en œuvre par CFI et Expertise France d\’un montant global de 5000€.
#Citoyenneté
#DonnéesOuvertes
#Bénin
#Covid I9
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Climat & Vie : Que retenir des 35 ans de protection de la couche d’Ozone au Bénin ?

Au Bénin, l’abandon progressif des substances chimiques qui appauvrissent la couche d’ozone a non seulement contribué à protéger la couche d’ozone pour les générations actuelles et futures mais a aussi renforcé la communauté internationale dans sa lutte contre les changements climatiques. Pendant que la communauté internationale célèbre 35 ans de protection de la couche d\’ozone, Que peut on retenir ?
Par Megan Valère SOSSOU
En cette année marquée par la pandémie de la Covid-19, avec ses difficultés sociales et économiques, le monde entier célèbre une fois encore de la Journée internationale de la protection de la couche d\’ozone, qui a lieu le 16 septembre de chaque année, 35 ans d’action déjà pour la vie.
Le thème de cette édition 2020 est, « L’ozone pour la vie ». Il nous rappelle que non seulement la crucialité de l’ozone pour la vie, mais aussi les defis pour protéger la couche d’ozone pour les générations présentes et futures.

Protection de la couche d’ozone, le Bénin s’en sort avec un bilan positif
Le Bénin en ratifiant les deux conventions et protocole mis en place par la communauté internationale s’est engagé à réduire les substances chimiques préjudiciables à l’environnement. 
Yvette Gauthé BOKO est le Point Focal National Ozone au Bénin, « le bilan est positif, le Bénin a essayé de respecter les engagements pris en éliminant toutes les substances à risque pour la couche d’ozone, à savoir Fréon 11 et Fréon 12 ». Le protocole a fixé un calendrier d\’élimination progressive de la production et de la consommation des substances concernées, selon le Point Focal National Ozone au Bénin, « le Bénin est à plus de 40 pour cent d’élimination des gaz HydroFluoroCarbures, Fréon, R-22 ». Rassurant que, le Bénin a accompagné la communauté internationale dans le cadre du nouvel amendement au protocole de Montréal, celui de Kigali relatif à la réduction de la consommation des substances comme l’hydrofluorocarbure.
Convaincu de ce que la protection de l’environnement est une affaire de tous. Yvette BOKO, souligne que la principale barrière qui existe encore à la protection de la couche d’ozone reste la commercialisation des flutes frigorigènes qui sont des réfrigérants de mauvaise qualité.
Commercialisation des réfrigérants de mauvaise qualité, un problème persistant à la protection de la couche d’ozone
Dans presque toutes les villes du Bénin, de Malanville à Cotonou en passant par Parakou, Natitingou, Bohicon et Porto-Novo, le constat est le même. Des réfrigérants de mauvaise qualité circulent. Sieur N. Calixte est frigoriste à Zakpo dans la commune de Bohicon, il témoigne être conscient du danger lié non seulement à la manipulation des différents gaz mais également de la commercialisation des flutes frigorigènes car poursuit-il, « Il peut y avoir des échappements de gaz ou des incendies dangereux à l’homme et à son environnement ».
Pour le Point Focal National Ozone, il est important qu’ils aient l’agrément recommandé et délivré par le Ministère du Cadre de Vie et du Développement Durable pour commercialiser des réfrigérants de bonne qualité. Mais, ce que dénoncent les consommateurs est le faible pouvoir d’achat pour s’octroyer de vrais réfrigérants écolos. Dame M. Folakè est usagère de bombes aérosol insecticides, elle dispose de trois climatiseurs pour sa maison et d’un congélateur. Elle déplore les avoir payé selon ses capacités financières et dans un pays où les lois ne sont pas souvent appliquées martèle t elle. « Pourquoi l’Etat ne subventionne pas les réfrigérants pour achat s’est elle interrogée ».
Yvette Gauthé BOKO, Point Focal National Ozone a appelé au sens de responsabilité des frigoristes, des commerçants et des consommateurs précisant que force doit resté à la loi, aux arrêtés interministériels et aux décrets qui réglemente le secteur.
Protection de la couche d’ozone, une vie pour deux objectifs
Abordant les perspectives de cet engagement, Madame Yvette Gauthé BOKO a identifié la mise en œuvre de l’amendement de Kigali adopté le 15 Octobre 2016 et entré en vigueur le 1er janvier 2019 que le Bénin a ratifié le 19 Mars 2018 relatif à la réduction des substances Hydrofluorocarbures véritable gaz à effet de serre.
Selon elle, l’atteinte des deux objectifs suivants : renforcer la protection de la couche d’ozone et la lutte contre le changement climatique. A l’en croire, cela signifierait une synergie d’action avec la douane béninoise et une forte implication des consommateurs optant pour des équipements à potentiels de réchauffement global nul, avec une efficacité énergétique élevé et durable.

Pourquoi la protection de la couche d\’ozone est-elle une nécessité ?
La couche d\’ozone agit comme une barrière protectrice qui retient la plupart des rayons ultra-violets émis par le soleil. Cette protection nous est donc absolument indispensable pour pouvoir supporter le rayonnement solaire. Lorsque la couche d\’ozone s’appauvrit, les conséquences sur la santé de l\’homme sont bien réelles et se remarquent par l’affaiblissement du système immunitaire, de graves dommages aux yeux, l’accélération du vieillissement de la peau et l’augmentation des cancers de la peau.
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