Journée Mondiale des Toilettes : Un assainissement durable lutte contre les changements climatiques

Le 19 Novembre, le monde entier célèbre la Journée mondiale des toilettes. Une occasion pour sensibiliser le public à la situation de 4,2 milliards de personnes qui vivent encore sans accès à des installations sanitaires gérées en toute sécurité.

Les excréments sont ensuite stockés dans un réservoir, qui peut être vidé ultérieurement par un service de collecte, ou transportés par des canalisations.

L’étape suivante est le traitement et l’élimination en toute sécurité. La réutilisation sans danger des déchets humains permet d’économiser de l’eau, de réduire les émissions de gaz à effet de serre et d’en capter pour produire de l’énergie. Elle peut fournir au secteur agricole une source fiable d’eau et de nutriments.

Des chiffres de l’ONU qui interpellent des actions fortes et concrètes

4,2 milliards de personnes vivent sans accès à des installations sanitaires, soit plus de la moitié de la population mondiale.

297 000 enfants de moins de 5 ans meurent chaque année de diarrhée pour avoir bu de l’eau insalubre ou par manque de services d’assainissement ou d’hygiène des mains.

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L\’ONG Save Our Planet participe à la mise en place du Consortium des OSC, Economie Sociale et Solidaire

 Sur invitation du LABIS de Porto Novo à l\’instar de plusieurs autres organisations de la société civile oeuvrant dans le domaine de l\’Economie Sociale et Solidaire, l\’ONG Save Our Planet à participer à la mise en place officielle du Consortium ESS au Bénin, Consortium National des Acteurs de l’Economie Sociale et Solidaire au Bénin.


Le LABIS, soutenu et accompagné par Solidarité Laïque Solidarité Laïque Afrique de l\’Ouest au travers de son partenaire local le RADEB se donne comme objectifs de favoriser une synergie d’actions des acteurs; de fédérer les forces, énergies et ressources; de mutualiser les ressources; de constituer une grande force de plaidoyer pour la reconnaissance de l’ESS par le gouvernement et l’adoption des textes législatifs et réglementaires en la matière et enfin de créer un écosystème national favorable au développement des initiatives ESS en faveur des jeunes et femmes.

La rencontre qui a démarrée à I0 heures ce jeudi 26 Novembre 2020 a été arquée par la présence du président du RADEB, du Directeur Général de l’ANPE Ouémé, du représentant du Président du Conseil Économique et Social du Bénin. 

L\’ONG Save Our Planet représenté par son membre actif à Porto-Novo, Mr Aimé SODJINOU est un acteur  qui oeuvre au centre Bénin pour l\’éclosion du concept d\’Economie Sociale et Solidaire.

Rappelons que l\’Economie Sociale et Solidaire (ESS) est déclarée comme une grande priorité continentale pour promouvoir des alternatives socio-économiques et de nouveaux modèles de développement répondant aux besoins fondamentaux des populations. Cependant, compte tenu du faible taux de l’ESS au Bénin par rapport à certains pays d’Afrique comme le Togo, le Mali, le Sénégal, le Cameroun, etc, plusieurs acteurs de l’ESS au Bénin ont décidé d’agir et de s’organiser en Consortium ESS pour mener des actions de plaidoyers en vue de la reconnaissance officielle de l’Economie Sociale et Solidaire et l’adoption de textes législatifs en sa faveur.

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Nature Tropicale au 1er Congrès régional sur les tortues marines en Afrique de l\’ouest

Le premier congrès des tortues marines se tient du 9-13 Nov 2020 à Lome au Togo. Une rencontre à laquelle participe activement la réputée organisation dans le domaine, Nature Tropicale du Bénin.

Face aux menaces grandissantes qui pèsent sur les tortues marines, les acteurs de la société civile africaine s’organisent en réseaux pour renforcer la protection de ces espèces emblématiques et menacées de disparition. Les cinq espèces de tortues marines présentes en Afrique Centrale et de l’Ouest sont classées de « vulnérable » à « en danger critique d’extinction » sur la liste rouge de l’UICN. 

Soutenus par le Programme de Petites Initiatives (PPI) géré par le Comité français de l’UICN et UICN-PACO, les deux réseaux frères de la sauvegarde des tortues marines, RASTOMA1 et WASTCON2, organisent du 9 au 13 novembre 2020, à Lomé au Togo, leur premier congrès régional sur les tortues marines en Afrique de l\’Ouest et du Centre. C’est une étape clé pour la construction d’une stratégie régionale de conservation des tortues marines efficace en Afrique atlantique, portée par la société civile avec l’appui des institutions régionales.

Le congrès régional RASTOMA / WASTCON réuni plus de 50 acteurs engagés dans la préservation des tortues marines et des habitats côtiers Atlantique en Afrique de l’Ouest et du Centre. L\’objectif est de renforcer la dynamique de collaboration et les échanges entre les sociétés civiles travaillant sur les tortues marines en Afrique centrale et de l’ouest. 

*Le Bénin est représenté par Nature Tropicale ONG, ACTION Plus et ECOBENIN* actives sur la problématique de la sauvegarde des tortues marines sur le littoral du Bénin.

Nature Tropicale ONG

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Togo/Lomé : Voici une offre inédite de formation certifiée en animation et facilitation des projets communautaires

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 _Dans le cadre du Programme de Valorisation des Compétences Connexes en lien avec l\’Agenda Durable en Afrique *(PVC-AD30)_ 

 L\’INSTITUT INTERNATIONAL DE FORMATION EN ANIMATION ET FACILITATION DES PROJETS COMMUNAUTAIRES DU GROUPE ACOMAS WASH-IDD, ….

*Met à la disposition de la communauté Togolaise, 30 bourses de Formation hautement subventionnés sur les modules : 

👉 Expert Animateur de Projet Communautaires 

👉 Formateur Certifié/Expert Animateur et facilitateur des Projets Communautaires. 

🗓️ *Date: Du 11 au 13 Décembre 2020 à Lomé 

🏛️ *Lieu* : Siège Expertes Concept*, Situé à Avedji, 1ère von à Droite Après Carrefour Y. 3ème Maison à Gauche après le Bar Otentea, en

Venant d\’Adidogomè.

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{Élus locaux, Agent de santé ou Développement Communautaire , Coordinateur de Projet,  Chargé de Programme, Formateur ou Consultant , Jeunes diplômés avec/sans Emploi, et Toute personne intervenant dans les domaines de la: *Decentralisation ET Administration Territoriale, Développement Communautaire, Santé, Nutrition, Wash, Environnement et Climat, Genre et Autonomisation des femmes, Dividendes Démographiques , Tourisme et Loisirs, Planning Familial, Education, Agronomie ,etc…}

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👉  *Si tu veux devenir Expert/ Consultant ou Formateur Certifié en Communication et Intermédiation Sociale ou Gestionnaire des Conflits sur les Programmes et Projets Communautaires,*

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✅ *FRAIS DE FORMATION*  

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▪️Module 2: 50.000 Fau ~lieu de 150.000F~ 

❇️ FRAIS D\’INSCRIPTION OBLIGATOIRE: 5.000f à payer au siège *Experte Concept

🤲-   Place Limités: 30

📍📍 Notre mission :

*Œuvrer pour la promotion et la Professionnalisation   des métiers d\’Animations et de Facilitation de Projets de Développement Communautaires au Bénin et dans la sous région.

https://www.facebook.com/Acomas-Wash-Idd-Institut-International-De-Formation-102571667832477/

 ➡Renseignement:  https://wa.me/22990396291

 *☎️Info:* +229 90396291/63664080

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Non respect des mesures liées au Covid-19 : PAX EXPRESS met en danger la vie de ses passagers

 


Alors que les pouvoirs publics de plusieurs villes béninoise ont mis en place les mesures préventives pour circonscrire la propagation du coronavirus dans les transports à savoir distanciation et port de masque, l\’utilisation de gel hydro alcool, force est de constater que l\’on en est bien loin du satisfecit escompté.

Dans les transports en commun, notamment les bus de transport en commun, on semble être hors du temps et de l\’espace au regard de citoyens pas concernés outre mesure, malgré les dispositions préventives prises par les autorités gouvernementales pour faire face au danger de propagation du Coronavirus (Covid19).

Aux heures de pointe, le transport en commun plonge dans un paradoxe qui lui est propre. Lundi 09 Novembre 2020, il sonnait 12h 55, nous (Megan Valère SOSSOU) venons à peine de prendre notre ticket à la compagnie de transport en commun Pax Express après une longue et houleuse discussion par rapport au respect de la distanciation. On (agent Pax Express) me rassurait de ce qu\’il n\’y aura pas d\’encombrements, ni de surcharges. En effet, pas de deux personnes côte à côte. Ce qui signifie en français facile qu\’il aura une personne pour deux places. 

Pax Express fait fit des mesures barrières au Covid-19

Après un semblant de démarrage à 13h 00 minute, place à l\’encombrement et à la surcharge. Un vil individu, qu\’il soit le conducteur du bus ou le tickettier principal, nous n\’en savons rien. Il nous obligeait à accepter deux personnes à côté de nous. Toutes tentatives de notre part pour comprendre la situation ont été vaines. Après qu\’il ait proféré des menaces contre nous alors quon résistait à sa demande, il nous a fait brutalement rembourser notre ticket. Ce que nous avons accepté pour enfin rejoindre un nouveau bus. Il s\’agit de la compagnie de transport Afrique Transport Voyage où les mesures barrière au coronavirus étaient strictement appliquées.

Comme Pax Express, ils sont nombreux ces bus de transport à tenir tête à l\’Etat dans sa volonté de lutter contre le Covid-19.

Avec ce non-respect des mesures de prévention contre le coronavirus dans les transports en commun que des milliers de citoyens utilisent chaque jour dans les villes, se pose la question de l\’effectivité du reste des mesures arrêtées par les autorités dont l\’harmonisation des prix. Car, en plus de la surcharge, le comble est quaucun dispositif de lavage des mains, ni de l\’application du gel hydro alcool ne sont effectif ni à l\’embarquement au grand parc auto de Parakou encore moins à la destination (Bohicon ou Cotonou).

Un transport en commun encombrant et dégoûtant

Il est donc clair que les transports en commun sont malades de l\’encombrement et du non-respect de la distanciation sous prétexte de la baisse de leurs revenus. Pourtant, au nombre des mesures pour atténuer les effets néfastes du Covid 19 sur le transport, le gouvernement à faire sortie une bagatelle de fonds qu\’ils ont allègrement reçu.

A l\’heure où le nombre d\’infections dues au coronavirus a repris à une vitesse exponentielle en Europe, l\’Afrique qui nest pas loin dune seconde vague doit sy préparer. A moins que les autorités béninoises ont déjà fléchit devant la maitrise de la situation liée au coronavirus, cette malheureuse expérience mais très courante dans les transports en commun en République du Bénin peut continuer. D\’ailleurs, je n\’en suis pas sûr et en appelle à la réaction des autorités en charge de la sécurité publique. 

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Concours du meilleur billet, Blog4Dev 2021 : testez vos talents de bloggeur en 650 mots !

L\’hiver dernier, la planète entière se figeait en découvrant l\’existence du coronavirus (COVID-19) et sa vitesse de propagation. Pour tenter d’y remédier, le monde s’est confiné, les écoles ont fermé, les chaînes de production ont cessé de fonctionner, la vie sociale s’est interrompue, les gens se sont cloîtrés chez eux. Tout a changé.

Aujourd’hui, l’ampleur de la pandémie et ses effets dévastateurs sur les êtres humains et les économies sont colossaux. Le 8 octobre 2020, l\’Organisation mondiale de la santé recensait 36 millions de personnes infectées dans le monde, dont 1,2 million en Afrique.

« La pandémie de COVID-19 est une crise à nulle autre pareille. Son bilan est lourd et les populations des pays les plus pauvres en souffriront sans doute le plus profondément et le plus longtemps. Elle a coûté des vies et bouleversé les moyens d’existence dans toutes les régions du globe », constatait David Malpass, le président du Groupe de la Banque mondiale, dans son discours d’introduction aux Assemblées annuelles qui se tiendront virtuellement cette année, du fait de la pandémie. « Elle a plongé plus d’économies dans des récessions simultanées que n’importe quelle autre crise depuis 1870. Et elle pourrait entraîner les premières manifestations d’une décennie perdue marquée par une croissance atone, l’effondrement de nombreux systèmes sanitaires et éducatifs, et le surendettement.»

Si les chiffres montrent que l’Afrique semble être relativement épargnée par rapport à d’autres régions du monde, l’impact socioéconomiques du virus n’en est pas moins sévère.  Selon notre dernier rapport Africa’s Pulse, sur les perspectives économiques de la région, la croissance en Afrique subsaharienne devrait chuter à -3,3 % en 2020, entraînant le continent dans sa première récession économique en 25 ans. La pandémie risque aussi de faire basculer 40 millions d’Africains dans l’extrême pauvreté, effaçant au moins cinq années de progrès dans la lutte contre la pauvreté.

Par ailleurs, « la COVID-19 ne sera pas la dernière situation d’urgence sanitaire que connaîtra le monde et il est urgent de se préparer durablement pour faire face à la prochaine »,  a averti l’OMS. Il est donc important que les pays africains parviennent non seulement à faire face à la crise sanitaire actuelle, mais se préparent aussi à la suivante. Beaucoup de pays ont déjà mis en place des mesures pour sauver des vies, protéger les moyens de subsistance et bâtir un avenir plus solide.

Afin d’apporter une solution collective à un défi collectif, nous souhaiterions également recueillir l’avis de la jeunesse africaine sur la riposte COVID-19. Répondez en 650 mots maximum à la question suivante, en fonction du contexte de votre pays :

Comment les jeunes peuvent-ils s\’associer à leur gouvernement et aux organisations de la société civile pour faire face à l\’impact de la COVID-19 et construire un système social et économique plus solide après la pandémie ?

Lancé en 2014 par l’antenne de la Banque mondiale au Kenya, le concours #Blog4Dev invite chaque année les jeunes à s’exprimer sur un enjeu crucial pour le développement économique de leur pays. Cette initiative permet d’impliquer la jeunesse africaine dans le développement du continent et fournit aux jeunes une plateforme pour partager leurs points de vue et leurs solutions sur des sujets qui leur tiennent à cœur. Le concours a pris une dimension régionale en 2018, depuis lors, les jeunes des 48 pays d’Afrique subsaharienne peuvent y participer. Les billets des lauréats des différentes éditions de Blog4Dev alimentent le contenu et la communauté de bloggeurs de notre plateforme Youth Transforming Africa. Appuyée par la Banque mondiale, l’initiative Youth Transfoming Africa visant à accroître la participation des jeunes Africains aux réflexions et discussions sur le développement de leur continent.

DÉTAILS

DATE-LIMITE DE DÉPÔT DES BILLETS: 30 novembre 2020

CONDITIONS D’ADMISSION: Être ressortissant d\’un pays d\’Afrique subsaharienne, y résider actuellement et avoir entre 18 et 28 ans au 30 novembre 2020.

SUJET: Comment les jeunes peuvent-ils s\’associer au gouvernement et aux organisations de la société civile pour faire face à l\’impact de la Covid-19 et construire un système social et économique plus solide après la pandémie ?

Cliquez ici 👇pour en savoir plus

https://www.banquemondiale.org/fr/events/2020/10/16/blog4dev-2021

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Café Climat : Pari gagné pour l\’ONG Save Our Planet

Les jeunes de la commune de Parakou sont désormais engagés pour être des sentinelles écologiques. C\’est à travers une formation au web activisme environnemental suivi dun débat ouvert, inclusif, participatif et décisif organisé par l\’ONG Save Our Planet en collaboration avec GAEDD ONG, EVDD ONG et la plateforme Talk AG.

Impliquer la jeunesse béninoise à la protection de l\’environnement, précisément dans la lutte contre le réchauffement climatique. Tel est l\’objectif de la rencontre de ce jour 07 Novembre 2020 dénommée Café Chaud & Climat Chaud. L\’évènement a reçu une visite surprise du leader, Directeur Exécutif DevEnergy et Fondateur des Africa EcoCitizens Days. Pour M. Wakil Oloulade l\’initiative est salvatrice et mérite l\’accompagnement de DevEnergy.

Au nombre d\’une trentaine, les participants venus des différentes contrées de Parakou, ont eu droit à une riche formation sur le web activisme environnemental. L\’occasion a été pour le Formateur Megan Valère SOSSOU, Activiste Blogueur Ecolo d\’outiller les jeunes pour la défense de l\’environnement vaille que vaille. Selon lui, défendre l\’environnement n\’a jamais été aussi risqué qu\’à l\’ère du numérique. 

Il urge que les jeunes s\’érigent en sentinelle de la nature sur le terrain et sur le net a-t-il souligné. Il faut noter qu\’à l\’issue de sa présentation, le thème Parakou à l\’épreuve du réchauffement climatique, a été mis au centre des discussions. Dans une ambiance de convivialité, les participants ont déploré des problèmes qui continuent de maintenir la commune de Parakou dans une situation de crise environnementale et climatique. Les uns et les autres n\’ont pas manqué de faire des propositions pour améliorer la situation. Lesquelles propositions seront adressées à l\’autorité communale.

Rappelons que l\’évènement est à sa première édition et sera répliqué dans plusieurs autres communes chefs de département sur toute létendue du territoire national. Bertin DEGNON, est lun des jeunes participants au Café Climat édition Parakou 2020, il avoue être mieux outillé pour dénoncer et apporter des changements dans sa communauté. Comme lui, ils sont beaucoup à décider transformer leurs communautés avec les acquis de linitiative Café Chaud & Climat Chaud.

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L\’ONG Save Our Planet organise un Café Climat à Parakou

Face à la récurrence des impacts du réchauffement climatique sur les communautés locales, les jeunes se trouvent être l\’ultime repère pour un solide plaidoyer, une grande mobilisation et de véritables propositions en vue de redorer le blazon.


ar Constance AGOSSA

Ainsi, l\’ONG Save Our Planet organise une #Open_Dialogue dénommée Café Chaud & Climat Chaud  en partenariat avec GAEDD ONG, TALK AG et EVDD, le Samedi 07 Novembre 2020 à Parakou. Il s\’agit d\’un débat ouvert, inclusif, participatif et décisif impliquant une cinquantaine de jeunes sur la situation climatique au niveau local. 

L\’évènement qui est à sa première édition sera l\’occasion pour les jeunes participants de recevoir une formation au Web activiste environnemental animé par le Président de l\’ONG Save Our Planet, Megan Valère SOSSOU en ses qualités de Journaliste, Analyste environnemental et d\’Activiste Blogueur. S\’en suivra une communication animé par Dr ALOMASSO, Chef Antenne Nord de l\’Agence Nationale de Protection Civile sous le thème Parakou à l\’épreuve du réchauffement climatique, bouclée d\’un débat en plénière. A l\’issue de cette activité qui va durer 5h de temps, soit de 8h à 13h, des recommandations seront transmises à travers une feuille de route adressée aux autorités locales. L\’ONG Save Our Planet est détentrice de la marque de ce projet. Pour son Président, il s\’agit de la nouvelle solution  pour une participation active des jeunes à la lutte contre le réchauffement climatque au plan local.

Tous à Parakou pour le rendu du projet Café Chaud & Climat Chaud qui sera désormais cyclique dans les chefs lieux des departements du Bénin a t-il annoncé.

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Finance Climat : Voici le bilan 2020 (Climate Chance)

COMMUNIQUÉ DE PRESSE

LE 28 OCTOBRE 2020 : PUBLICATION DU BILAN MONDIAL DE LA FINANCE CLIMAT 2020 

Réalisé en partenariat avec Finance for Tomorrow, comme ses deux éditions précédentes, ce bilan constitue une analyse et un suivi de l’action climat des banques, des assureurs et des investisseurs. Il présente aussi les dynamiques du marché avec l’évolution et l’offre des produits financiers verts.
 

Climate Chance publie cette 3e édition du Bilan mondial de la finance climat à l’occasion de la semaine Paris for Tomorrow, organisée du 23 au 30 octobre par Finance for Tomorrowautour du Climate Finance Day. Un événement international qui réunit la communauté financière, les autorités locales et publiques et la société civile pour mettre en lumière les questions et solutions liées au financement et à la réalisation des objectifs climatiques et des objectifs de développement durable (ODD).
 
L’édition 2020 rend compte de la prise de conscience croissante par les acteurs financiers de leur rôle majeur dans la transition bas-carbone de l’économie réelle, mais également dans les facteurs qui sous-tendent sa réussite : la protection de la biodiversité et l’impact social des investissements et des produits financiers.
 LES GRANDES TENDANCES DECRYPTEES DANS NOTRE BILAN MONDIAL DE LA FINANCE CLIMAT EN 2020

  • La progression de l’intégration du changement climatique dans les décisions des acteurs financiers
  • L’accélération du mouvement par la réglementation et la supervision financière
  • L’intégration progressive des enjeux de biodiversité
  • Les effets de la pandémie de Covid-19
  • Les tendances récentes de la finance verte
Ronan Dantec
Président de Climate Chance

 

“ À quelques jours du 5anniversaire de l\’Accord de Paris, cette troisième édition du bilan réalisé par Climate Chance et Finance for Tomorrow, rend compte de la prise de conscience croissante par les acteurs financiers de leur rôle majeur dans la transition bas-carbone de l\’économie réelle, mais également dans les facteurs qui sous-tendent sa réussite : la protection de la biodiversité et l\’impact social des investissements et des produits financiers. Il analyse de manière plus précise chaque année la nécessité de cohérence de l\’action de la finance au regard des enjeux climatiques et environnementaux. ”
Thierry Déau
Président de Finance For Tomorrow

 
“ Je suis heureux que, pour la troisième année consécutive, Finance for Tomorrow contribue à l’édition annuelle du bilan de l’action climatique du secteur financier publié par Climate Chance. Nos axes prioritaires coïncident avec les nouvelles frontières identifiées par ce bilan : financement de la biodiversité, dimension sociale, fintech verte ou encore alignement sur les objectifs de l’Accord de Paris. Il comprend des informations chiffrées et détaillées et nous fournit également des pistes pour nourrir notre travail collectif, au niveau français et international. ”
Liens vers les documents, disponibles en français et en anglais : Bilan mondial finance climat 2020 – Résumé aux décideurs.

Le Bilan mondial de la finance climat s’inscrit dans un ensemble de publications de notre Observatoire de l’action climat non-étatique créé en 2018 et rassemblant à ce jour 4 Bilans mondiaux annuels : finance, sectoriel, territoires, adaptation ainsi que de nombreux cas d’étude. Climate Chance poursuit ainsi sa mission de montrer l’évolution des mobilisations, de crédibiliser les stratégies des acteurs par rapport aux objectifs climatiques internationaux, et d’observer ainsi la réalité des actions annoncées.

CONTACT PRESSE

CLIMATE CHANCE – Virginie Foucault-Rougé, responsable communication ǀvirginie.foucault-rouge@climate-chance.org ǀ +33 6 11 96 25 10 – Amaury Parelle, coordinateur de l’Observatoire ǀamaury.parelle@climate-chance.org ǀ +33 6 51 46 48 14
FINANCE FOR TOMORROW – Pauline Leménicier, chargée de mission communication & événementiel ǀ
p.lemenicier@financefortomorrow.com
ǀ +33 1 70 98 06 46

 
PRESENTATION DES ORGANISATIONS 
 

CLIMATE CHANCE – Crée en 2015, Climate Chance est la seule association internationale, participant à la mobilisation dans la lutte contre le changement climatique, se proposant de réunir à égalité l’ensemble des acteurs non-étatiques reconnus par la Convention Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques – CCNUCC. Son objectif ? Renforcer l’action climat des collectivités locales, des entreprises et de la société civile par la mise en réseau des acteurs, faire émerger des priorités et des propositions communes, et ainsi, contribuer à l\’atteinte des objectifs de l\’Accord de Paris.
www.climate-chance.org

FINANCE FOR TOMORROW – Finance for Tomorrow est la branche de Paris EUROPLACE lancée en juin 2017 pour faire de la finance verte et durable un élément moteur du développement de la Place de Paris et la positionner en centre financier de référence sur ces enjeux. Elle réunit plus de 80 membres signataires d’une charte commune visant à réorienter les flux financiers vers une économie bas-carbone et inclusive, en cohérence avec l’Accord de Paris et les Objectifs de Développement de Durable (ODD) de l’ONU.
www.financefortomorrow.com

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21 rue du Faubourg Saint-Antoine 
75011 Paris

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Présence sur internet et Réchauffement Climatique : les activistes climat veulent une chose et son contraire

  

Le Covid-19 est une maladie infectieuse provoquée par le coronavirus le plus récemment découvert, le SRAS-CoV-2. Apparue à Wuhan (Chine) en décembre 2019, la maladie s’est rapidement propagée à travers le monde, perturbant profondément plusieurs grands évènements en faveur du climat, la biodiversité, l’eau etc.… Du coup, les institutions ou organisations internationales et nationales se sont simplement repliés sur internet, comme alternative. Notre consommation quotidienne et croissante des outils numériques est plus énergivore qu’il n’y paraît.

Télétravail, visioconférence, du direct, du streaming, vente en ligne, appels vidéos, ce sont là des expressions utilisés par les activistes pour commettre le péché climatique favorisé par la crise pandémique liée au coronavirus, Covid-19. Plusieurs plateformes numériques sont mises à contribution dont les plus courants sont : Zoom, Skype, Youtube. En effet, cette présence active sur internet génère de mégas donnés. Ces derniers stockés dans des centres de données consomment assez d’énergie.

L’internet réchauffe le climat

L’internet est alimenté par une gigantesque énergie. Nul doute que le secteur énergétique soit le principal émetteur de dioxyde de carbone, gaz au centre du réchauffement climatique selon les scientifiques du GIEC. Dès lors, le repli sur internet a coûté et continue de couter cher au climat mondial. Il engendre par contre une pollution astronomique d’autant plus inquiétante qu’elle est invisible. Pendant qu’il est une source importante de consommation énergétique et donc d’émissions de gaz à effet de serre, des actions sur internet tendant à lutter contre le phénomène ne sont qu’utopique.

En voici quelques chiffres qui soutiennent les affirmations : Quatre (04) grammes de CO2 émis pour chaque mail envoyé. Sept (07) tonnes de CO2 par jour pour les recherches sur Google. L’envoi d’un simple e-mail avec une pièce jointe, c’est l’équivalent d’une ampoule de 25W basse consommation allumée pendant une heure alors que sans pièce jointe, c’est cinq fois moins. Chaque minute, c’est des dizaines de millier de vidéos qui sont ajoutées sur Youtube. Les chiffres sont tout autant alarmant pour Google, le leader des moteurs de recherche : c’est 3,3 milliards de recherche par jour.

Des empreintes écologiques sur internet, c’est possible

C’est enfin claire que le numérique pollue, mais il existe des habitudes simples à adopter pour faire baisser sa consommation énergétique. Ainsi, comme l’on doit bien trier ses déchets, il existe également des habitudes simples à adopter pour gérer sa consommation d’énergie liée à l’informatique. 

En voici quelques-uns, pour bien gérer ses mails, sa navigation, son stockage et enfin sa présence sur internet.

Pour commencer, un geste tout simple : alléger ses mails en enlevant les images et en privilégiant le format texte simple. Eviter aussi d’envoyer ou transférer des pièces jointes inutiles. Ensuite, il faut éviter de passer systématiquement par un moteur de recherche pour se rendre sur un site internet si vous en connaissez l’adresse. Enregistrez-y tous les sites que vous consultez régulièrement, puis accédez-y directement. Il existe aussi des moteurs de recherche éco responsables qui compense le CO2 dépensé par les recherches, comme Ecosia, ou Lilo. Enfin, de manière générale, il vaut mieux choisir le téléchargement plutôt que le streaming, qui est énergivore plus que la télévision.

En claire, tout ce que l’on fait sur internet a un impact énergétique, auquel le climat paye lourdement le prix. Cependant, il est important d’en avoir conscience.

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